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 Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ

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Message Sujet: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptySam 15 Sep - 9:34

Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy.Doudou & Appy..Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4
It wakes me up at night. Needs to share its light. It doesn't get how dark it is outside. Warms the rising sun. It kisses everyone. It doesn't remember the hate of yesterday. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. When my golden crown. Becomes a cup of doubt. I try to remember all I need is all around. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive. Oh can't you feel it in my touch? Know that I'll always have enough. Love, love is alive in me. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me.


Comme à l’accoutumée, tes yeux sont rivés sur le saisissant visage de ton bébé. Ce dernier est toujours paisiblement endormi, et tu te délectes, clairement insatiable de lui, de ce spectacle divin et inouï. Bon sang, qu’est-ce qu’il est magnifique, solaire et resplendissant, ton parfait prince charmant ! Tes doigts glissent amoureusement entre ses mèches brunes et argentées, et tu es infiniment comblé rien qu’à ce simple toucher, quand bien même tu es convaincu que, s’il était éveillé, il ronchonnerait sur le fait qu’il hait cette teinte rebelle qui est en train de parsemer sa chevelure bouclée. Oui, tu sais pertinemment que la vieillesse lui fait peur, mais toi, tu aimes cette couleur grisonnante de tout ton cœur, tout simplement car elle est le témoin de votre bonheur. Ce petit cheveu gris ? Il est arrivé lorsque vous vous êtes retrouvés, lors de ce merveilleux été. Et celui-ci, couleur souris ? Il est plus triste, car il est là le témoin de toute l’inquiétude de ton chéri vis-à-vis de ta maladie. Et qu’en est-il de ce groupe, là, de beaux fils d’argent ? Il représente le souvenir de chacun de vos baisers, de chacune de vos étreintes passionnées. Quant à ces mèches légèrement plus blanchies, ce sont là les milliers d’éclats de rire qui vous ont aidés à surmonter les tempêtes qui se sont déchaînés sur votre océan infini de possibilités. En définitive, ces discrètes rides de cheveux sont, pour toi, les témoins de votre histoire, le miroir de votre vie de couple et des souvenirs que vous avez partagés. Tu ne comprends donc pas pourquoi ta coquillette préférée s’entête à ce point à les détester et dénigrer, car, à tes yeux d’amoureux irrémédiablement fou et passionné, il n’y a rien de plus poétique et séduisant que cette magnifique chevelure en perpétuel changement.  
Et même si tu craques et que les cheveux blancs doivent uniquement être des représentants de la vieillesse, pourquoi en être effrayé, quand vous savez que jamais cela ne changera vos sentiments ? Vous vous aimez... et... oui... oui, vous vieillirez, ensemble, avec l’être aimé. Que demander de plus que ce bonheur, si ce n’est l’éternité pour le partager ?
Toi, tout ce que tu sais, c’est que tu n’as désormais plus peur de vieillir. Non, ça, c’est bel et bien terminé, tout simplement car tu te fais une joie de passer ton existence aux côtés de ton bébé. Tu as même presque hâte d’avoir le cuir chevelu recouvert de cheveux blancs, tant tu es pressé de vivre ta vie entière au bras de ton prince charmant.
Ce raisonnement est sûrement fou et insensé, oui, mais... tu l’aimes... et tu n’y peux rien si tes sentiments te rendent complètement dingue et niais...




Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy .....Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4


Tu souris, tandis que tes doigts tendres se mettent à chérir amoureusement la joue du bel endormi. Tu réfléchis, te dis que tu ne l’as jamais admiré sans cette barbe fournie. Mais oui, depuis toutes ces années, jamais tu ne l’as vu rasé ! Tu fronces alors les sourcils, tout en essayant de le visualiser sans ce parfait collier de poils qui habille le bas de son visage. Mais tu n’y arrives pas – échec et mat, tant tu es habitué à l’admirer avec cette barbe impeccablement taillée. Mh... Ta curiosité te pousserait presque à lui demander de se raser, mais tu sais parfaitement qu’il t’enverrait balader. Ô, pourtant, tu serais prêt à tout pour le voir complètement à nu, pour découvrir quel grain de peau secret se cache derrière cette virilité si étroitement entretenue. Malheureusement, il ne le voudra jamais, tu le sais ! Mais... Mais, attends... qui a dit que tu devais obligatoirement le lui demander ? Un sourire filou s’affiche sur ton visage rayonnant, tandis que tu te lèves silencieusement, afin de mettre en place ta sûrement très, très, très mauvaise idée.
Sur la pointe des pieds, agile comme un félin, tu files jusqu’à la salle de bains, tout en faisant de ton mieux pour ne pas réveiller Rose de si bon matin. Après tout, tu n’es qu’un invité, ici, alors tu n’as pas le droit de la faire tomber du lit ! Quoi qu’il en soit, après avoir discrètement rassemblé une petite bassine d’eau, un peu de mousse à raser et un rasoir à la lame bien affutée, tu es paré et fin prêt à retourner auprès de ton bébé. Tu t’empresses alors de rejoindre sa chambre à coucher et de te glisser dans ses draps froissés, avant de t’attaquer à ton idée vraiment très risquée.
Quelle idée ?!
Le raser.

Tu hésites, tes mains tremblent, mais tu finis par appliquer une petite couche de mousse à raser sur la joue gauche de ton bébé. Allez, allez, tout va bien se passer ! Tu prends une grande bouffée d’air frais, humidifie la lame bien aiguisée, puis la passe délicatement contre la joue de l’intéressé. Et hop, toute une lignée de poils s’est envolée ! Mais... évidemment... il est en train d’émerger... « Je... hum... euh... HEYYYY ! Bonjouuuuuur, Bééébééééé ! » Tu affiches un grand sourire gêné, juste avant de célébrer cette nouvelle journée en déposant ta bouche contre ses lèvres divinement sucrées. Cependant, malgré ce délicieux baiser, tu te retrouves avec de la mousse à raser sur le nez, et tu rougis derechef de la situation chaotique dans laquelle tu t’es fourré. « Oh... euh... et bien... » Tu agites nerveusement le rasoir sous ses yeux, tandis que tu essaies de canaliser et d’interpréter les diverses émotions qui traversent son regard merveilleux. « Oh... euh... tu sais, bébinou d’amour, dans le pire des cas, ça... repoussera, hein ! Ce... Ce n’est pas comme si je t’avais coupé tes petites bouliches, mihi... » Tu essaies de faire un petit peu d’humour, même si tu n’es pas vraiment sûr que ce soit au goût de ton amour. Mais... après tout, se réveiller plein de mousse à raser et avec un trou dans sa barbe implacablement sculptée... oui, tu peux comprendre qu’il soit légèrement décontenancé ! Mh... que faire ?! Peut-être... Peut-être qu’un petit arrangement pourrait l’aider à se dérider ? « Si... Si tu me laisses gentiment terminer ce que j’ai commencé, ma pupucette adorée, tu pourras me faire toooout ce que tu veux, après ! Me raser les sourcils, me colorer les cheveux en bleu, me demander tout et n’importe quoi... Bref : TOUT, TOUT ce que tu veux ! Ma seule condition, en retour, est de voir mon beau bébé enfin, enfin, enfin rasé... » Tu fais les yeux doux, caresses son torse puissant de tes doigts filou, essaies par tous les moyens de faire flancher ton Doudou. « Marché... conclu ? » De toute façon, avec un aussi gros trou dans sa barbe, a-t-il vraiment le choix ? « Tu n’m’boudes pas et m’aimes toujours, j’espère ? » Tu hésites à retourner l’embrasser, de peur d’être rejeté. « J’ai... quand même le droit à... à un p’tit... bisou... ? » Aïe, t’as un peu de mal à y voir clair ! Espérons maintenant que ton idée saugrenue ne transforme pas votre relation en véritable enfer...



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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyDim 16 Sep - 18:08

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love is alive
It wakes me up at night, needs to share its light. It doesn't get how dark it is outside, warms the rising sun. It kisses everyone, it doesn't remember the hate of yesterday. Oh, can't you hear it in my voice, oh, can't you see it in my eyes? Love, love is alive in me.
D’habitude, ouvrir les yeux pour le découvrir est l’un de tes plus grands plaisirs. C’est vrai, c’est comme se réveiller en plein océan, avec le profond vertige que t’offrent toujours ses iris, les dizaines de petites lumières et étoiles qui s’y blottissent, jamais au même endroit, car c’est comme se réveiller au bord d’une abîme — lente et langoureuse est la chute de ton regard contre son visage, contre la sculpture de son nez et de ses joues et de ses maxillaires, la sculpture toute délicate comme si on n’avait pas osé appuyer trop fort sur l’outil de peur de briser le marbre.
D’habitude, ouvrir les yeux pour le découvrir est assez fabuleux ; c’est fou parce qu’il se réveille toujours plus tôt que toi, à se demander s’il ferme une seule fois ses saphirs pendant la nuit.
D’habitude, c’est délicieusement grisant, de se réveiller auprès de lui. De chercher son regard, de chercher ses lèvres et ses doigts brûlants ; d’habitude, c’est outrageusement agréable d'ouvrir ses yeux pour le découvrir.
D’habitude.
D’habitude, mais ce matin, c’est différent. Ce matin, tu as été tiré du sommeil par une sensation froide sur ta joue — rien à voir avec sa peau à lui qui est à chaque fois plus douce et agréable ; mais bien quelque chose de froid et étrangement… humide ? Tu as entrouvert un œil lorsque autre chose t’a effleuré, c’était sec et vif, comme, comme, comme un métal — et c’est la sonnette d’alarme qui hurle dans ton esprit tandis que tu te redresses un peu brutalement, ouvrant cette fois-ci grands les yeux. Et c’est l’air gêné qu’affiche ton chéri qui te fait paniquer le plus vite, et puis tu aperçois le rasoir à sa main ; et alors, tout se met subitement en branle dans ta tête et tu comprends d’un coup, comme un éclair de génie. Oh, merde. Tu ne dis pas un mot qu’il t’embrasse, et dès qu’il s’écarte de toi tu passes une main sur ta joue, recueillant entre tes doigts la mousse à raser, et quelques poils qui y étaient restés — ta bouche s’ouvre doucement pour rester figée, le regard fixé sur le contenu de ta paume, comme si les pires horreurs du monde y étaient réfugiées. « Ne me dis pas que… » Tu ne finis pas ta phrase, repousses les draps pour te lever et aller droit à la salle de bains, pour te placer face au miroir.

Un trou. Une ligne blanche, en plein milieu de ta joue gauche, une ligne blanche que tu ne peux t’empêcher de toucher, comme si le contact de tes doigts allait faire repousser tous les poils instantanément.
Non mais sérieusement, qu’est-ce qu’il lui est passé par la tête ?
Tu retournes au lit d’un pas vif, la main toujours plaquée sur le trou qu’il vient de te faire ; et il reprend la parole un peu timidement, te signalant que dans le pire des cas, ça va repousser. Oh oui, bien sûr, ce ne sont que des poils, ce n’est qu’une barbe, et d’ici une dizaine de jours tout sera revenu à la normale. Bien sûr. Le souci, c’est que tu ne veux pas passer dix jours le menton glabre. Et ses doigts se baladent sur ton torse tandis qu’il essaie de te faire plier en te proposant de lui teindre les cheveux en bleu, après, si tu le souhaites, ou bien de lui raser les sourcils, de faire tout ce qu’il te chante du moment que tu le laisses terminer sa tâche. « Mais, mais je n’ai pas envie de te raser les sourcils ! » Tu fronces les tiens et ouvres les yeux d’un air perplexe et décontenancé, réfléchissant à toute allure au fait que, de toute façon, que tu le veuilles ou non, il faudra bien qu’il finisse ce qu’il a commencé. « C’est pas comme si tu me laissais le choix, en même temps… Non, mais sérieusement, qu’est-ce qu’il t’a pris ?! » Tu jettes un œil par terre pour y repérer la petite bassine d’eau, et puis la mousse à raser, et bon sang, pourquoi, mais pourquoi tu ne t’es pas réveillé plus vite ?
Tu le fixes un instant sans rien dire, avant de passer ta langue contre l’intérieur de ta joue, t’adossant contre la tête de lit, les bras croisés contre le torse. « Bon, bah vas-y. Achève ce massacre. » Ta voix est plutôt blanche, mais tu t’adoucis considérablement à sa prochaine question, à savoir si tu boudes et si tu l’aimes encore. Tu boudes ? Mh, non, pas du tout. Bon, un peu. « Non, je ne boude pas… Seulement tu aurais pu me prévenir, voire me demander… parce que c’est pas franchement drôle de se faire réveiller par un rasage indésiré… » Tu soupires avant de pencher la tête en arrière deux secondes, répondant à sa deuxième question intérieurement. Évidemment que tu l’aimes toujours, ça n’est pas un rasoir qui va changer la donne… Mais s’il faut que tu te méfies lorsque tu t’endors à côté de lui, ça va compliquer la mise. « Ne dis pas de bêtises. » Tu te redresses légèrement pour approcher tes lèvres des siennes, l’embrassant doucereusement tandis que ta main cherche quelque chose sur le côté ; saisit la bombe et décolle ta bouche de la sienne au dernier moment pour vaporiser généreusement de la mousse sur sa joue et son nez. « Oh, mince, désolé... » Tu lui souris de toutes tes dents, reposant ostensiblement la bombe de mousse juste à tes côtés. « Décidément, rien ne va aujourd’hui… » Tu hausses les épaules d’un air tout à fait innocent — cette petite vengeance était tout ce qu’il y a de plus puéril, mais tu es bien fier de toi, en parfait petit garnement. « Allez, je t’en prie, termine ce que tu as commencé. Et profites-en bien, parce que c’est la première et dernière fois que tu le feras. » Il va vite comprendre pourquoi est-ce que tu ne te rases jamais à blanc.  
(c) ÉLISSAN.
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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyLun 17 Sep - 20:56

Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy.Doudou & Appy..Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4
It wakes me up at night. Needs to share its light. It doesn't get how dark it is outside. Warms the rising sun. It kisses everyone. It doesn't remember the hate of yesterday. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. When my golden crown. Becomes a cup of doubt. I try to remember all I need is all around. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive. Oh can't you feel it in my touch? Know that I'll always have enough. Love, love is alive in me. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me.


Doudou se réveille, s’insurge, se lève, et c’est ton petit cœur amoureux qui se crève. Oh, tu ne devrais pourtant pas être surpris, car tu savais pertinemment qu’il ne serait pas emballé par ton idée de génie pourrie ! Cependant, tu ne t’attendais vraiment pas à ce que ton envie le fasse à ce point bondir et fuir du lit... Quoi qu’il en soit, tu es seul, seul dans ces draps qui deviendront ton linceul, si ton aimé ne revient pas rapidement te retrouver. Heureusement, il ne s’absente pas très longtemps, et il revient bientôt se glisser à tes côtés, avec une main plaquée sur sa pauvre barbe saccagée. Gêné – voire carrément peiné et désolé, tu essaies alors de le dérider en lui faisant comprendre que ses poils finiront par repousser, mais ça ne semble pas vraiment le consoler de cette perte immense de virilité. « Bébou... » Il ne te dit strictement rien, semble être tiraillé entre la colère et le chagrin. Oh... mais que faire, pour vous extirper de cette infinie galère ?! Tu vas lui proposer un petit marché, afin de pouvoir mettre les compteurs à égalité. Cependant, ton offre ne semble pas lui faire plaisir, au même titre que le fait de te raser les sourcils est loin de lui convenir. « Ce... Ce n’était qu’un... exemple pour te faire comprendre que tu peux tout... absolument tout me demander... » Ta mine reste toujours aussi désillusionnée, puisque rien ne semble réussir à apaiser ou réconforter ton aimé. Décidément, si même son chaton ne parvient pas à vaincre les dragons qui lui font le cœur bougon, tu es dans une bien triste situation...
Tu baisses les yeux, rougis, triste d’être puni par la mine agacée de ton chéri. Bon sang, mais qu’est-ce qu’il t’a pris ?! « Je... Je voulais juste... pour une fois... » Tu ne pensais vraiment pas à faire du mal, étais à des années lumières de t’imaginer que ton geste provoquerait tout ce drame. Curieux, tu voulais simplement découvrir le nouveau visage de ton bébé, afin de l’admirer sous une forme que tu n’avais jusqu’alors jamais pu adopter. Mais... voilà, à trop vouloir découvrir toutes les facettes physiques et émotionnelles de ton roi, voilà que tu t’es brûlé les doigts... « ...désolé. » Tu ne vois pas à quoi bon tout lui expliquer, surtout quand il semble si remonté. « Je... Je ne pensais pas que tu le prendrais aussi mal... et... et j’en suis... désolé... » Désolé, désolé d’avoir troué ta barbe et la paisible atmosphère de l’océan infini de possibilités... Désolé, désolé d’être une plaie et de rendre les choses toujours aussi compliquées...


Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy .....Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4


Après avoir adopté la position du parfait boudeur, ton âme-sœur t’ordonne d’achever ton idée de malheur. Mais tu n’en as même plus l’envie, tant tes seuls désirs sont d’effacer cette mauvaise idée et de ne pas contrarier ton chéri. Malheureusement, puisque les poils ne se recollent pas et que tu n’es pas capable de voyager dans le temps, il va forcément falloir te résoudre à terminer de raser ton prince charmant...
Il t’assure qu’il ne boude pas, mais sa mine renfrognée et ses bras croisés jurent le contraire. Définitivement, c’est un enfer ! Néanmoins, il a quand même l’honnêteté de t’avouer qu’il aurait préféré que tu le consultes avant d’exécuter ce geste indésiré. « Si je t’en avais parlé, jamais tu n’aurais accepté... » Tu as donc décidé de prendre le taureau par les cornes, quand bien même cette idée était incommensurablement conne. « Mais... Mais ça ne se reproduira plus jamais, je te le promets... » Sincèrement repenti, tu espères maintenant que tes plates excuses apaiseront ton chéri.
Dois-tu encore ajouter un désolé ? Visiblement pas, car Drake s’empresse d’annihiler tes inquiétudes en te donnant le baiser que tu as quémandé. Soulagé, tu fermes alors les yeux, profites déraisonnablement de cet instant merveilleux, jusqu’à ce que l’odeur sucrée de ton bébé s’arrache de tes lèvres pour laisser place à celle – bien moins enivrante - de la mousse à raser. Oh, t’en as partout ! Mais c’est là une juste vengeance pour ton Doudou. « Mihi, je le reconnais, c’est amplement mérité ! » Tu ne prêtes aucune attention aux excuses ironiques de ton chéri, mais tu ne tardes pas à sortir faussement les crocs lorsqu’il te confie que rien ne va pour lui, aujourd’hui. « Oh ? Si... Si rien ne va dans ta vie, aujourd’hui, peut-être devrais-je te quitter, pour te permettre de mieux aller ? » Tu affiches un large sourire mutin, tandis que tu files récupérer la bombe de mousse à raser, déposée près de ton bébé. « Ce serait le pied, non ? Comme entre deux mille quinze et deux mille dix-sept ; nos plus belles années ! Haha ! » Désormais équipé de la panoplie du barbier, tu files sur le lit et tartines les joues de ton bébé à l’aide de cette mousse onctueuse et parfumée. « Mais... plus sérieusement, puisque j’ai abordé le sujet : qu’est-ce que tu ferais, si jamais je venais à... à te quitter, pour de vrai, de vrai, de vrai ? » Ça ne se produira clairement jamais – ta seule manière de le quitter est de décéder, mais tu es curieux de voir comment il envisage cette hypothétique – impossible - destinée. « Et fais gaffe à ce que tu vas dire, hein, car j’peux te couper autre chose que ta barbe, mon p’tit baby chéri... » Tu plaisantes, le montres en déposant un petit baiser contre son front, tandis que tu passes délicatement la lame du rasoir contre sa joue aussi douce que celle d’un doudou. « Allez, ne t’en fais pas, le supplice sera vite terminé... » Tu le rases de bon cœur, heureux que la situation se soit finalement arrangée. Cependant, puisque tu ne peux faire taire ta grande culpabilité, tu t’empresses de lui rappeler le marché que tu lui as précédemment proposé. « Et n’oublie pas, si t’as quoi que ce soit à me demander ou à me faire faire, je te suis complètement redevable, ma p’tite pupuce... » Tu fais une pause dans ton rôle d’apprenti barbier, déposes une main sur la joue désormais vierge de ton bébé. « Le travail est à moitié terminé, mais je te trouve déjà... tellement... toujours... ô... si... si beau... » Tu caresses affectueusement sa joue démunie, tandis que ton autre menotte fait pivoter le visage de ton chéri. Une moitié toujours barbue et l’autre rasée ; il est si magnifique dans les deux cas que tu ne sais même pas quel côté est ton préféré ! « En fait, rasé ou pas, rien ne pourra jamais changer : t’es définitivement le plus bel homme au Monde... » Tu souris de toutes tes dents, tandis que tu apprécies déraisonnablement de découvrir la peau nue de ton prince charmant. « Allez, on s’y remet, plus qu’une seule joue à délester ! » Et la lame se remet derechef à danser.



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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyMar 25 Sep - 19:43

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Ça n’était pas tant une question de bouder, parce qu’aussi surprenant soit-il, ton réveil n’avait pas été marqué d’une seule éraflure, tu devais le reconnaître. Ç’avait été fait proprement et délicatement, comme s’il pensait pouvoir achever sa tâche sans que tu n’aies eu l’occasion de te réveiller, et ç’avait même été fait aussi amoureusement que s’il t’avait tout simplement embrassé. Ça devait être ça, dans le fond, pour lui, ça n’était rien de plus qu’une caresse gris métallisé. Mais il avait aussi conscience d’à quel point tu es attaché à ta barbe, te la retirer te donne véritablement l’impression d’avoir le crâne rasé. C’est un peu ça, tu te sens nu alors que tu es face à lui. Tu ne devrais pas ressentir cette gêne plus que fortuite en le sachant occupé à te regarder te déshabiller de ces poils ; parce qu’après tout, combien de fois t’a-t-il déjà vu dans ton plus simple apparat ? Tu n’as jamais cherché à compter, et alors, pourquoi cette fois-ci compte-t-elle plus que les autres fois ? Parce que tu as toi-même vraiment du mal à te regarder sans barbe, tu as l’impression d’avoir perdu une bonne moitié de visage, qui te semble alors trop petit, tassé, sans harmonie aucune. Et puis, si les poils sont là, c’est bien pour une raison, non ? Pourquoi s’obstiner à vouloir les enlever ?
Dans tous les cas, tu ferais bien mieux de te dérider, parce que tu es en train de massacrer le sourire qui ornait quelques instants plus tôt le visage de ton homme. Tu ne penses pas avoir eu une réaction disproportionnée, mais tu aurais pu, certes, être un peu plus discret sur la déplaisante surprise que t’a réservé ce réveil — enfin, c’est trop tard, maintenant, faut juste réussir à rassurer ton amour et à te faire à l’idée que tu vas devoir passer la semaine qui suit avec une bonne partie de ta virilité à la poubelle. Si tu avais pu te préparer psychologiquement, aussi, si ton chéri t’avait au moins consulté avant, peut-être que tout ça serait un peu mieux passé ? Ça te reste en travers de la gorge en partie pour ça, d’ailleurs. Pourquoi ne t’a-t-il pas tout simplement demandé ? Sa réponse est toute simple : tu n’aurais pas accepté. Mh, peut-être n’a-t-il pas tort sur ce point. Pris de court, tu ouvres simplement la bouche pour répliquer, avant de t’abstenir, te soustrayant à son regard pour échapper à cet air contrit que tu détestes tant voir. « C’est peut-être vrai, mais tu vas rapidement voir pourquoi je ne veux pas… » Tu pousses un léger soupir, avant de pianoter nerveusement sur ta cuisse de tes doigts, relevant finalement les yeux vers lui lorsqu’il te demande un baiser. Oh bien sûr, bien sûr que tu vas l’embrasser… Tu te rapproches de lui pour déposer tes lèvres contre les siennes, saisissant au passage la mousse à raser. Et alors que tu te détaches de lui, tu lui vaporises généreusement le contenu de la bombe sur le visage.

Vient ensuite une nouvelle couche d’excuses diluée sous un sourire taquin ; et ton chéri reconnaît ne l’avoir pas volée. Tu poursuis avec cet air faussement dramatique pour déclamer que rien ne va aujourd’hui ; et comme tu t’y attendais, Apple surenchérit en te proposant de te quitter sur le champ pour sauver ta journée. Tu souris légèrement, en inclinant la tête sur le côté. « Pas question que tu t’en ailles avant que tu aies achevé ce joli massacre. » Tu tapotes de l’index le trou béant qui creuse ta barbe, mais recouvres un semblant de sérieux lorsque ton chéri pose une question un peu plus délicate et sensible. Que ferais-tu, réellement, s’il te quittait ? Question périlleuse, parce que tu ne veux à aucun prix t’aventurer dans un terrain aussi glissant, ça te ramène à, comme il l’a dit, “tes plus belles années” de marche en désert aride. Le silence. Les glissades, les gamelles, le sol qui tremble et la voix qui se casse, les murs toujours plus hauts et ta patience toujours plus froide, les cassages de gueule, les souvenirs éperdus et tellement, tellement douloureux que tu t’obligeais à ne jamais te rappeler de quoi que ce soit. Jamais. Mais c’était profondément idiot lorsque tu as toujours porté son nom autour du poignet, c’était profondément idiot lorsque son visage restait gravé sous tes paupières, à te caresser du regard chaque fois que tu fermais les yeux. « J’espère que tu n’essaies pas de me préparer à quoi que ce soit avec cette question, hein… » Tu as un rire bref un peu gêné, essayant difficilement de reconstituer le puzzle de tes pensées. Il t’a posé une question. Une question qui exige une réponse. Concrète, sûre. Une réponse que tu n’auras pas laissé trop mûrir pour ne pas la dénaturer ; qu’elle soit directe, tu comprends ? Alors, que ferais-tu s’il venait à te quitter, mais pour de vrai cette fois ? « Eh bien… Je suppose que ça se passerait comme la première fois… J’essaierai de comprendre pourquoi… Et puis… » Comme l’autre fois, alors tu es juste censé désespérer et essayer de te faire à l’idée pendant deux ans, soit sept-cent-trente-jours, environ dix-sept-mille-cinq-cent-vingt heures de ta vie ? C’est assez horrible, de résumer ces cent-quatre semaines à de simples nombres que tu auras tôt fait d’oublier ; les souvenirs, eux, ne s’effacent pas, pas plus que la souffrance en elle-même. « Et puis, je ne sais pas, faudra bien que je me fasse à l’idée. » Tu hausses les sourcils avant de sourire tristement, serrant les dents lorsque la lame du rasoir vint à nouveau glisser contre ta joue. Tu as horreur de ce contact, décidément !

Il faut changer de sujet, passer à autre chose, noyer la mélancolie grandissante qui étend son ombre dans la pièce ; c’est dangereux. C’est dangereux pour votre bonne humeur, dangereux pour vos sourires qui persistent et s’accrochent vaille que vaille contre vos lèvres ; mais changeons de sujet, alors, puisqu’Apple s’empare de la lame pour achever sa tâche, tout en te rappelant que tu peux lui demander à peu près n’importe quoi en échange, il te doit bien ça. « Ah oui, c’est vrai ! » Tu te rappelles à voix haute, avant de plonger plusieurs secondes dans les méandres de tes pensées. Que pourrais-tu bien lui demander ? Rien de trop pénible ou bizarre, il vaut mieux commencer en douceur, sait-on jamais. Alors, alors. Tu réfléchis quelques secondes encore, les yeux rivés vers le plafond tandis que le rasoir racle péniblement ta joue ; ah, trouvé ! « Alors à mon tour de te poser une question. Qu’est-ce que tu ferais si tu ne pouvais pas saquer mes parents ? » Tu baisses les yeux pour le regarder, guetter sa réaction, et un petit sourire se dessine dans un coin. Tu ne penses pas, sérieusement qu’il puisse détester tes parents. Sans être de de bons samaritains ils sont tout ce qu’il y a de plus banal ; pas trop d’histoires, le sourire de temps en temps, et le rire de Maman qui semble clair et brutal à chaque fois tant il vient trop brusquement, celui de Papa est plus retenu, parce que tu sais que lorsqu’il ne se retient pas, c’est à en faire trembler les murs de la maison. Mais ça fait longtemps, à vrai dire, que tu n’as pas eu l’occasion de les voir exploser de joie ; ne t’inquiète pas, ça reviendra. Ça revient toujours.
Tes pensées allant, Apple a d’ores et déjà débarrassé l’une de tes joues de sa rangée de poils. Il t’examine sous toutes les coutures avant de conclure que tu lui plais toujours autant, avec ou sans barbe. « Laisse juste la moustache, on va voir si tu me trouves toujours aussi charmant. » Ce serait la totale, là, vraiment ! Tu n’oses même pas imaginer quelle tête ça te ferait, en vérité. Probablement un air très vieux et digne d’un psychopathe — mais mieux vaut ne jamais le savoir, car tu es déjà sûr et certain que ça ne t’irait pas très bien. Mais enfin, peu importe, tu vas le laisser finir tranquillement, et occuper le silence par ce petit jeu qui commence à te plaire beaucoup. « À toi de poser une question, alors. » Tu as un petit sourire enfantin tout en plissant les yeux ; tu sais parfaitement qu’il a toujours tout un tas de questions en réserve pour toi, même s’il n’ose pas en poser trop à la fois.  
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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyJeu 27 Sep - 20:14

Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy.Doudou & Appy..Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4
It wakes me up at night. Needs to share its light. It doesn't get how dark it is outside. Warms the rising sun. It kisses everyone. It doesn't remember the hate of yesterday. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. When my golden crown. Becomes a cup of doubt. I try to remember all I need is all around. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive. Oh can't you feel it in my touch? Know that I'll always have enough. Love, love is alive in me. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me.


Ce ne sont que des taquineries, des taquineries qui ne s’associeront jamais avec votre réalité. Mais... et si... et si tu venais vraiment... à le quitter ? À le quitter pas uniquement pour l’évincer de la dure vérité au sujet de ta périlleuse santé, mais... à le quitter... car l’océan infini de possibilités a cessé de te combler ? Tu continues ton œuvre – ton "massacre" – sur la joue de ton bébé, tandis que cette hypothèse ne cesse de t’inquiéter. Et si, fort malheureusement, cette situation impensable finissant par arriver ? Et si le printemps, un jour, ne faisait pas refleurir la fleur immarcescible de votre amour ? Et si, vraiment, votre Monde tout entier venait à s’écrouler ?
Et si... Et si... Que ferait ton bien-aimé ?

Seul le bruit sec de la lame tuant le poil se fait entendre dans la chambre à l’harmonie soudainement mise à mal. Perdu dans ses pensées, Drake reste dangereusement muet, tandis que tu regrettes d’ores et déjà la question irréfléchie et insensée que tu lui as posée. Bon sang, tu ferais vraiment mieux de réfléchir, de te taire et de contrôler ta curiosité, espèce de gros boulet ! Quoi qu’il en soit, malgré le début de ton auto-blâme intérieur, toutes tes pensées dénigrantes s’évaporent dès l’intervention déconcertante de ton p’tit cœur. « QUOOOIIII ?! » Outré par sa question, tu affiches de grands yeux ronds. Naaan, comme si tu le préparais à une rupture, sérieusement ?! « Plus jamais de la vie, tu m’entends ?! » Malgré son évident second degré, tu n’es pas vraiment partant pour plaisanter avec ce genre de sujet. De ce fait, tu arrêtes momentanément de le raser, afin de pouvoir t’abaisser et pénétrer son saisissant regard bleuté. « Sois rassuré, Bébé, ce n’est que de la simple curiosité... que j’aurais sûrement mieux fait de contrôler... » Tu hausses timidement les épaules, laisses un petit rire gêné s’échapper. Décidément, il faudrait vraiment que tu réfléchisses... avant de la ramener ! Cependant, puisqu’il est trop tard pour effacer ta mauvaise curiosité, tu déposes amoureusement tes lèvres contre celles de ton bébé, afin de pleinement le rassurer. Là, là, je t’aime et n’ai clairement pas l’intention de te quitter ! Là, là, encore un... puis un tout petit... et un dernier baiser. Là, là, rassuré ? Il semblerait, car il ne tarde pas à tristement se confier sur cette hypothétique et impossible destinée. « Oh... heureusement... heureusement que je compte ne plus jamais te quitter... » Tu souris timidement, stoppes la lame un instant, juste le temps de caresser ses cheveux amoureusement. Oh oui, un peu de tendresse vous fera du bien, surtout quand tu constates avec quelle maladresse tu as ruiné le moral de ton lapin ! « Je t’aime tout fort, tu le sais, hein ? » Clairement, oui, il le sait ! Cependant, après cette interrogation plutôt déplacée, tu estimes qu’il n’est pas malvenu de le lui rappeler...  
Alors que le rasoir se remet à danser, tu te dis qu’il ne serait que justice de t’interroger et t’exprimer à ton tour sur cet épineux sujet. Alors... si l’océan infini de possibilité venait à être annihilé, qu’est-ce que tu ferais ? « Je sais que tu ne me l’as pas demandé – peut-être car t’es gêné ou peut-être parce que ça ne t’intéresse tout simplement pas, mais... si tu venais à me quitter... je... » Tu fais mine de t’interroger, même si, en vérité, tu sais parfaitement ce que tu ferais. « ...je... sans la moindre hésitation, je ferais tout pour reconquérir mon ex ! » Comment ça ?! Alejandro, encore une fois ?! À croire que vous garderiez tous les deux le même schéma... « Enfin... heu... je... non ! Ne crois pas... que... » Tu affiches une mine crispée, conscient que les mots que tu as employés n’étaient peut-être pas les mieux adaptés. Finalement, tu aurais encore mieux fait de réfléchir avant de la ramener ! Ranh, quel satané boulet ! « J’veux dire que... si tu m’quittes, tu seras mon ex... » Évidemment, ce n’est pas de l’espagnol dont tu parlais ! Clairement, cet homme n’a jamais été le sujet ! « Et c’est après toi, mon tout dernier ex, que je n’arrêterais jamais de m’accrocher... » Tu fais de ton mieux pour récupérer tes maladresses de formulation, afin qu’il n’y ait aucune autre incompréhension. « Et je crois que... que je ne m’arrêterais jamais... que je ne baisserais jamais les bras... tant... tant que je n’aurais pas retrouvé mon homme et fait renaître l’amour sur l’océan infini de possibilités... » Tu souris tendrement, irrémédiablement amoureux de ton prince charmant. Quoi qu’il en soit, qu’importe la réponse apportée sur cette hypothétique - impossible - destinée, vous êtes désormais fixés sur comment se comporterait l’autre... si jamais le Pancake venait à être dévoré...
Mais ça ne se produira jamais, hein, pas vrai ?


Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy .....Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4


Alors que le rasoir dansant a presque accompli la moitié de son utilité, tu rappelles à ton bébé qu’il est en mesure d’absolument tout te demander. Bien évidemment, il ne se fait pas davantage prier et s’empresse même de te demander ce que tu ferais si tu ne pouvais pas encadrer le patriarche et la matriarche Whiteley. Légèrement paumé par cette perspective difficile à envisager, tu clignes plusieurs fois des yeux avant d’enfin t’exprimer. « Je... J’ai franchement du mal à m’imaginer ne pas les aimer, vu la merveille qu’ils ont créée... » Puisqu’ils ont fait don de la vie à l’homme que tu aimes, comment pourrais-tu leur vouer ne serait-ce qu’un semblant de haine ? Ça te semble impossible, mais... pour ne pas esquiver la question de ton bébé, tu fermes les yeux et t’imagines être dans cette situation horrible. « Enfin... si jamais c’était le cas... et que je ne les aimais pas, je... je prendrais sûrement sur moi... et ferais tout pour essayer d’arranger les choses, pour toi... » C’est un sujet plutôt délicat, vu que tu ne connais ni sa maman ni son papa, mais, s’il y avait un froid, tu es convaincu que tu ferais tout pour arranger les choses entre ses parents et toi. Espérons maintenant qu’il n’y ait pas besoin d’en arriver là... et que tout se passera bien dès là première fois... « De toute façon, pour dire ce qu’il en est vraiment, il faudrait déjà que je les ai rencontrés... » Message subliminal caché ? Non, car il est clairement à la portée de n’importe quel être normalement constitué...
Ça y est, la moitié de sa barbe fournie est rasée ! Cela n’enlève cependant rien à son infinie beauté, et tu ne manques pas de le lui notifier. Malheureusement, il semble prendre cela au second degré, et tu es conforté dans cette idée lorsqu’il te défie de lui laisser uniquement la moustache sous le nez. « Merci... pour l’idée ! » Tu laisses un petit sourire mutin t’échapper, même si le voir se dénigrer et moquer à ce point de son visage imberbe ne manque pas de t’irriter. « Mais... ce que j’ai dit est vrai : t’es toujours le plus beau, mon Apollon et Dieu du stade ! » Tu déposes un adorable petit baiser sur sa joue douce, rasée, rincée et essuyée, en savourant plus que de raison le merveilleux contact de cette peau que tu viens à peine de révéler. « De toute façon, même si t’étais affublé de la moustache d’Hitler, tu resterais la plus belle et fascinante créature que la Terre ait jamais portée ! » Ce n’est que la pure vérité, bien que tu préfères amplement ne jamais le voir rasé comme cet être qui ne t’inspire que du mépris et une écœurante nausée... « Et je suis convaincu que même le puissant Thor rougirait de son physique s’il se retrouvait actuellement à côté de toi ! » Tu souris de cet air beaucoup trop niais, te remets à le raser, tout en prenant grand soin d’épargner les poils présents sous son nez. La petite moustache, oui, tu vas la lui laisser ! Il aura alors peut-être l’air idiot, mais tu es infiniment convaincu qu’il sera toujours aussi beau ! Quoi qu’il en soit, tu finirais évidemment par lui ôter la totalité de cette barbe si regrettée, mais, avant d’en arriver là, il te reste encore un peu de travail à exécuter. Sans perdre davantage de temps, tu retournes alors t’occuper de ton bébé, tandis qu’il t’invite à relancer votre jeu des questions osées. Oh, pour ça, tu ne vas pas te faire prier ! « Roh, mais... mais j’ai teeeeellement de choses à te demander ! » Malheureusement, il va falloir faire un choix, puisque vous êtes partis sur un deal d’une seule question à la fois ! « Allez... Bon... commençons par ça : dis-moi, si je n’avais pas existé, pour qui aurais-tu pu craquer ? » Tu souris, petit coquin fini, tandis que ta lame de rasoir continue de délester les poils du visage de ton chéri. « Promis, ce n’est pas une question piège ! Que ce soit une personne bien réelle, une célébrité ou un personnage de fiction... n’hésite pas, il y a d’infinies possibilités et plusieurs noms que tu peux me donner ! » Alors, quels sont les fantasmes inavoués de ton bébé ? Tu l’ignores... et as terriblement hâte que la réponse te soit enfin révélée...



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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyDim 30 Sep - 18:55

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Bien sûr que non, il ne te quittera plus. Ce serait complètement paradoxal, lorsqu’il te répète chaque jour qu’il t’aime un peu plus ; mais se peut-il que tout vienne à se dilater, invariablement et implacablement sans que vous ne l’ayez vu venir ? Oh certainement. Pourquoi en serait-il autrement ? Ça te fait mal de l’admettre, mais tu es convaincu que rien n’est fait pour durer, et que ce serait un miracle que vous réussissiez à vous aimer toujours de la même manière au cours des années. Tu penses plutôt qu’un jour, la passion finira par doucement s’en aller, et ne restera qu’une profonde et sensible tendresse et délicat amour. La flamme deviendra bourgeon simple et clair, et est-ce tout aussi bien ? Évidemment. Ce sera tout aussi délicieux et doux, quoi que bien plus tranquille et ton pauvre cœur parviendra peut-être à échapper à la crise cardiaque.
Mais pour ce faire, il faudrait déjà que ton amour ne te quitte pas, pas avant au moins une bonne dizaine d’années. À ça tu as une réponse absolument positive et sincère qui te met instantanément du baume au cœur et le sourire aux lèvres. C’est bon. Plus jamais. Il le dit lui-même, il n’y aura plus d’errance et d’âme perdue, plus de douleurs creuses et les cicatrices froides de votre première rupture n’auront pas à se rouvrir. Tu es un peu soulagé, quand bien même ta question était à prendre au seconde degré. « Oh non, tu as bien fait de demander, c’est bien d’être curieux. » Tu n’as pas vraiment envie qu’il s’en veuille pour si peu, aussi t’empresses-tu de le rassurer quant à sa question qu’il juge maintenant trop déplacée. Il n’y a pas de quoi, vraiment, car te poser cette question ne peut que te faire le plus grand bien. Juste au cas où, même s’il n’y aurait pas de “au cas où”, merci. Il continue à passer la lame sifflante contre ta joue, et tu n’aimes pas vraiment ça et la sensation que ça procure ; tu as presque hâte qu’il ait terminé, même si tu as légèrement peur du résultat. Enfin, c’est trop tard, maintenant, n’est-ce pas, le mal est fait comme on dit, tu n’as plus qu’à espérer que lui, au moins, aime le rendu final. Tu finis par répondre à sa demande après quelques hésitations songeuses, et si ta conclusion n’est pas très gaie, ç’a le mérite de clore la question. Qu’aurais-tu pu dire d’autre ? Rien, car tout ce que tu as dit n’était que la vérité pure et dure, aussi cinglante soit-elle. « Rappelle-le moi encore une fois... » Tu murmures, un sourire coupable aux lèvres ; oh oui, rappelle-moi combien tu m’aimes. « Je t’aime aussi, trésor. »
Un court silence s’installe, entrecoupé par les crissements de la lame contre ta joue, tu as l’impression qu’elle est toute rêche maintenant, alors que techniquement elle devrait être plus douce, que c’est étrange. Le silence oui, et du coup tu te remets à penser des choses bizarres, à te poser des questions qui n’ont sans doute pas lieu d’être, pendant que ton chéri ouvre à nouveau la bouche pour t’expliquer ce qu’il ferait si c’était toi qui le quittais. Tu ouvres grand les oreilles et cherches ses yeux pour y plonger sans te mettre en apnée au préalable ; plonger comme ça est bien plus agréable. Mais sa réponse… eh bien sa réponse te laisse pantois, et t’arrache aussitôt à la contemplation de ses iris. Il irait reconquérir son ex ? Sans trop savoir si tu dois le prendre avec humour ou plus sérieusement, tu choisis la première option et laisses un air entendu envahir ton visage, l’air de dire, tu ne perds pas de temps, toi. « Tu ne supportes vraiment pas le célibat, alors... » Tu lâches un petit rire, qui s’interrompt bien vite lorsqu’il comprend le quiproquo, et s’empresse de se rattraper, assurant qu’il parlait de toi, puisque, il a raison, si tu le quittes, tu seras logiquement son ex. Tout s’explique, tu ouvres la bouche en inspirant, comme les gens le font lorsque la lumière s’éclaire finalement, et tu rougis un peu de la méprise, quoi que ces mots aient été assez mal choisis, pour qu’il y ait un tel malentendu. « Je préfère ça. » Tu souris un peu et te penches pour déposer un petit baiser sur ses lèvres toutes douces ; avant de penser à un léger détail. « Sauf que si je te quitte, il y a peu de chances pour que je retourne avec toi, surtout si tu insistes à ce point... » Tu arques un sourcil, un peu taquin ; et tu cherches la petite bête, aussi, mais autant être honnête, tu n’aimerais sans doute pas cette façon trop insistante de vouloir se remettre avec toi. Et puis, de toute façon, peu importe, puisque tu ne le quitteras certainement pas. « De toute manière, peu importe ce que tu ferais, puisque te quitter n’est pas vraiment dans mes projets... » Tu reprends un air taquin avant d’ajouter, glissant un regard vers le rasoir qu’il a abaissé. « … quoi qu’avec l’histoire de ce matin, je vais y re-songer... »
Le petit jeu reprend, et c’est à ton tour de poser une question. Tu n’as pas à réfléchir bien longtemps avant d’en proposer une à ton chéri : que ferait-il, s’il ne pouvait pas encadrer tes parents ? Bon, tu sais bien que c’est peu probable que ça arrive, étant donné le niveau surélevé d’adorabilité qui englobe ton chaton, qui ne pourrait pas l’aimer ? Mais enfin, la réponse peut être intéressante à entendre, sait-on jamais. Évidemment, il ferait tout pour que la situation ne s’envenime pas, et qu’elle s’améliore aussi, dans le meilleur des cas. Ça te semble être une bonne solution, aussi hoches-tu simplement la tête avec un demi-sourire ; il est vrai que c’est dur à savoir, vu qu’il ne les connaît même pas. Oui, bon, ça va, tu le sais bien, ça, et son message implicite glissé dans cette phrase d’apparence innocente ne te laisse pas de marbre. « Eh bien, si tu as un week-end à me consacrer, je t’ai déjà dit ce que j’en pensais. » Tu lui as déjà dit que ce serait un plaisir que de l’emmener à Rotorua, quand bien même tout risquerait d’être extrêmement gênant. Mais il faudra bien passer le cap, de toute façon, alors le plus tôt sera le mieux.

Une fois que ta joue est toute délestée de ses poils, Apple t’observe sous toutes les coutures et conclue en affirmant que tu lui plais toujours autant. C’est gentil, mignon et tout ce que tu veux, mais tu n’en penses pas un mot, alors évidemment tu ne peux t’empêcher de le taquiner un peu, en t’imaginant avec une moustache. Ce serait ridicule. Mais tu rigoles doucement en y songeant ; ce serait drôle, aussi. Il dépose un petit baiser sur ta joue, peut-être pour en apprécier le nouveau contact, tu souris un peu. « Alors ? Tu aimes ? » Il a plutôt intérêt à aimer, soit dit en passant. « On va éviter ce genre de moustache, quand même… » Hitler, non, vraiment, ce n’est pas tellement ton style. Et quand il s’agit de dire que Thor pâlirait en se mettant à tes côtés, tu penses qu’il part un petit peu trop loin, et une autre plaisanterie suffit à l’éclairer quant à tes pensées. « Je crois que tu confonds Thor avec Gollum, chéri. » Tu lâches un sourire, tandis qu’il reprend le rasoir pour achever son œuvre. Et voilà, bientôt plus de barbe, que c’est triste.
Pour passer le temps, tu lui demandes de reposer une question, et bien sûr, tu n’as pas à le lui répéter deux fois pour qu’elle fuse, sûrement déjà toute préparée. Pour qui aurais-tu pu craquer s’il n’avait pas existé ? Elle va plus loin, la question, puisque tu es autorisé à nommer n’importe qui, réalité et univers fictifs compris. « Oh c’est compliqué, comme question. » Tu ouvres de grands yeux pour réfléchir ; t’as même ce réflexe un peu nul de vouloir gratter ta barbe, mais comme il n’y en a plus, eh bien, tu te retrouves comme un con à frotter ta joue toute lisse. Ça fait bizarre, mais là n’est pas la question. Bon, alors ? « Eh bien, j’étais amoureux de la princesse Leia, quand j’étais petit. » Bon, ça a quelque peu évolué depuis, mais tu te rappelles à la perfection du poster Star Wars qui ornait un de tes murs, avec la belle, son blaster à la main, prête à en découdre. « Sinon… » Tu cherches des noms, des visages, peut-être ? « Il y aurait… Daenerys, évidemment… » Évidemment. Et sinon ? « Oh, Black Widow et Wanda Maximoff. » Tu continues à réfléchir, tandis que ton chaton s’active pour te raser l’autre joue. Est-ce qu’il y en a trop ? Tu ne sais pas, tu creuses tes méninges pour lui trouver d’autres noms, mais faut croire que plus rien ne te vient, puisque tu conclues, avec un profond sourire. « Ça va, pas trop jaloux ? À ton tour, je veux tout savoir. » Tu te délectes déjà de connaître ses fantasmes.
 
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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyMar 2 Oct - 13:50

Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy.Doudou & Appy..Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4
It wakes me up at night. Needs to share its light. It doesn't get how dark it is outside. Warms the rising sun. It kisses everyone. It doesn't remember the hate of yesterday. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. When my golden crown. Becomes a cup of doubt. I try to remember all I need is all around. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me. Oh, can't you hear it in my voice. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive. Oh can't you feel it in my touch? Know that I'll always have enough. Love, love is alive in me. Oh, can't you see it in my eyes. Love, love is alive in me.


Tel un lionceau blessé, affamé et enragé, tu ne cesserais de traquer ton bébé, s’il venait véritablement à te quitter. Clairement, tu ne lâcherais rien, tout simplement car tu es infiniment convaincu que seul Drake Whiteley illustre ton destin. Malheureusement, s’il venait à te quitter, il te fait comprendre que jamais plus il ne te succomberait, d’autant plus si tu ne cesses de lui courir après et de vigoureusement insister. Tout, tout serait alors terminé... « Et bien, je vois que cette décision serait très... très définitive et tranchée ! » Il est clair qu’il ne fait jamais dans la demi-mesure et tu te dis que vous avez de la chance que ce soit finalement toi qui l’ait quitté, et pas l’inverse, il y a deux années... Si c’avait été lui... et qu’il avait agi exactement comme il te l’a dit... vous ne vous seriez sans doute plus jamais retrouvés... de toute la vie... « À t’entendre, on croirait presque que tu y as déjà mûrement réfléchi ! » C’est comme s’il avait songé à une porte de sortie et que le scénario de l’après-rupture était d’ores et déjà établi. Tu espères maintenant que tout cela ne verra jamais le jour, et, heureusement, tu es rapidement rassuré par ton amour, même s’il ne perd pas cette occasion pour te jouer un nouveau petit tour. « Songe à me quitter autant que tu le souhaites, Bébé ! C’est une excellente idée, surtout quand le rasoir que je tiens est si proche de ta mignonne petite gorge... » Prenant part aux taquineries de ton Doudou, tu déposes délicatement le rasoir près de son cou, tout en affichant un sourire que tu voudrais aussi glaçant que fou. Bien évidemment, et même s’il venait véritablement à t’annihiler et te quitter, tu préfèrerais encore te tuer plutôt que de l’assassiner. Morte, ta coquillette préférée ? Tu ne le supporterais clairement jamais ! Plutôt crever !
Malgré tes sinistres pensés au sujet de cet hypothétique avenir insensé, tu es conscient que ce n’est là que taquineries et billevesées. Tu n’en veux alors aucunement à ton Doudou de plaisanter à ce sujet, puisque s’amuser et se taquiner est le dessein premier de ce jeu de question que vous avez insaturé. En vérité, Drake n’a pas réfléchi à te quitter et ne le fera sûrement jamais, tu le sais, alors tu enchaînes sur sa prochaine question sans être psychologiquement torturé. Alors... Et si tu n’aimais pas ses parents ? Question à double-tranchant, question qui lui revient immédiatement dans les dents. Oui, oui, pour savoir comment le courant pourrait passer, encore faudrait-il que tu les aies préalablement rencontrés ! « Comme si je ne te consacrais pas déjà tout mon temps-libre... » Qu’est-ce qu’un week-end à donner, alors que tu lui offres chaque seconde que tu ne passes pas à travailler ? « Mais t’inquiète, on a le temps ! Choisis le week-end qui te plaira... et on avisera... » Tu déposes une main tendre contre le haut de son torse brûlant, avant de le caresser affectueusement. Oh, tu as hâte, terriblement hâte de rencontrer ses parents ! Seulement, tu sais que cet engouement sera rapidement évince au profit d’une parfaite anxiété, lorsque le moment sera venu d’être confronté à cette étape primordiale de votre couple officialisé. Comment te comporter ? Et s’ils n’arrivaient pas à t’aimer ? Et si tu disais quelque chose de déplacé ? Et s’ils s’opposaient radicalement à cet amour aussi atypique que passionné ? Et si... Non ! Stop, stop, arrête donc de trop penser et stresser... car l’heure de les rencontrer n’est pas encore arrivée !
De toute façon, tout ne pourra que bien se passer, pas vrai ?



Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy .....Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4


Alors que tu t’extasies depuis de longues minutes sur la joue vierge de ton chéri, ce dernier pousse la taquinerie jusqu’à te demander si tu l’apprécies. Non, mais... franchement ?! C’est vrai que lorsque des étoiles filantes traversent tes yeux dégoulinants d’amour et de niaiserie, cela signifie que tu détestes, généralement ! Mais oui ! « Est-ce vraiment nécessaire d’encore te redire que j’aime tout de toi, physiquement et intérieurement ? » Tu secoues la tête, faussement irrité et exaspéré. Quoi qu’il en soit, s’il tient à ce point à aller à la pêche aux compliments... tu vas te faire un plaisir de mordre à son hameçon, petit merlan ! « Bien sûr que j’aime... et que je t’aime ! » Tu poses le rasoir un instant, juste le temps de déposer tes lèvres sur le siennes et d’évacuer ce désir trop mordant. « Et... sache-le : je t’aimerai toujours, Drake Coban Doudou Whiteley, quoi qu’il advienne de ce corps magnifique ou de ce visage si parfait ! » Chauve, obèse, malade, ridé ou même défiguré, jamais, jamais tu ne cesseras de l’aimer ! C’est acquis, c’est clairement un fait !
En dépit de cet instant parfumé à l’eau de rose, ton amour ne manque pas d’encore s’auto-moquer, lorsque tu lui certifies que Thor rougirait d’être à ses côtés. Il te lance alors que tu confonds le bel héros avec Gollum, ce qui est à des millions de kilomètres de coller avec ta version de la réalité. Gollum ? Vraiment rien à voir avec ton bébé ! « Mh... tu as entièrement raison, c’est vrai ! Tu ressembles à un étrange mélange entre Gollum et un Gremlins ! Et... y’a rien de plus sexy... » Tes lèvres sont pincées, afin d’empêcher un rire tonitruant de s’en extirper. Oh oui, il vaudrait mieux éviter de rigoler, d’autant plus quand tu viens de reprendre cette lame affutée pour poursuivre ce rasage à blanc indésiré !
C’est à nouveau à ton tour de jouer, et ta question ne tarde pas à fuser : qui pourrait le faire fantasmer ? Il réfléchit durant quelques secondes, avant d’aborder Leia, Daenerys, Black Widow et Wanda. Évidemment, tu connais le physique flatteur de toutes ces héroïnes, et tu dois bien admettre qu’elles sont toutes magnifiques. Tu en viens même à sourire, car tu es toi-même convaincu que tu ne resterais pas de marbre face à Scarlett Johansson ou Emilia Clarke, que tu admires en tant que femmes et talentueuses actrices. Pour les autres, tu les connais moins, même si leur plastique reste effectivement de rêve. « Décidément, désirer toutes ces femmes voluptueuses... et finir avec un petit gringalet comme moi... » D’aucuns savent que les fantasmes deviennent très rarement réalité, mais là, y’a un immense fossé entre ses désirs et la réalité, car t’es loin d’être une guerrière ou super-héroïne au sex-appeal démesuré. Le pauvre, quelle triste réalité lui est infligée ! Il ne semble cependant pas être attristé d’avoir renoncé à trouver une personne réelle ressemblant à ces clichés, et il te demande maintenant si tu n’es pas jaloux des personnages de fiction sur lesquels il serait susceptible de fantasmer. TOI ? JALOUX ?! Mais... Mais quelle idée ?! Voyons, tu ne l’es jamais ! « Moi, jaloux ?! Hum... voyons, tu ne cites que des femmes... ce qui signifie quelque part que je suis le seul homme capable de te faire fantasmer... Alors non, au contraire, je suis incroyablement flatté ! » Tu souris sincèrement, avant de déposer tendrement tes lèvres sur le front de ton prince charmant. Et non, véridiquement, tu n’es – pour une fois - pas jaloux, tout simplement car tu ne peux envier un être irréel qui ne prend forme que sur écran. « Mais t’aurais quand même pu m’avouer ces fantasmes plus tôt, hein ! Ça m’aurait évité de me déguiser – ridiculiser - en Iron Man... » Mouais, enfin... le résultat en costume de Black Widow aurait sûrement eu le même impact ! Quoi qu’il en soit, après avoir bien ri en revoyant ce souvenir maladroit, ton homme ne manque pas de te retourner ta propre curiosité. « Mihi, j’me doutais que j’allais y passer... » Tu prends quelques instants pour réfléchir, avant de te décider à te lancer. « ‘Fin... tu penses que c’est vraiment nécessaire que je le dise ? Tu sais déjà que je suis complètement dingue de Robb Stark... » Ça, tout le monde – ou presque - le sait ! M’enfin, n’y-a-t-il eu que lui ? Non, pas vraiment, si on remonte le fil du temps... « Mais quand j’étais petit, j’étais amoureux de la Petite Sirène ! » Tu laisses un petit rire s’échapper, quand tu repenses ô combien tu admirais cette magnifique, curieuse, indépendante et intrigante créature. D’ailleurs, si elle avait été réalité, tu es sûr que tu aurais jalousé le prince qui a eu le privilège de l’épouser ! « Quant à l’adolescence, par contre, c’était plus Hermione Granger et Lara Croft ! » Deux pures beautés radicalement opposées, mais deux femmes que t’as déraisonnablement admirées. L’une pour son intelligence, sa franchise et sa sensibilité, et l’autre pour son courage, sa détermination et sa force innée. Alors... Robb, Ariel, Hermione, Lara, et maintenant ? « Et maintenant, plus besoin de fantasmer, car mes fantasmes sont ma réalité... » Tu souris d’un air beaucoup, beaucoup, beaucoup trop niais, tout en luttant contre cette irrépressible envie de l’embrasser. Mais... allez... deux secondes, juste deux secondes, le temps de terminer de le raser... « Taaaadaaaaam ! Chef d’œuvre terminé ! » Aussitôt dit, aussitôt admiré, aussitôt déraisonnablement et fougueusement embrassé...
Le rasoir va pouvoir enfin se reposer, mais il n’en est rien du petit jeu que vous avez instauré. De ce fait, même si tu viens de te rallonger et de te blottir amoureusement contre les pectoraux de ton bien-aimé, tu ne manques pas de relancer un nouveau round avec une question pour le moins épicée. « Si tu pouvais changer quelque chose chez moi, ce serait quoi ? » Le silence s’installe, mais, vu ton interrogation, il n’y a sûrement rien de plus normal. « Et ne dit surtout pas 'rien', hein ! Joue le jeu, car y’a forcément un truc... chez ton chaton... que tu aimerais bien modifier ou changer ! » Tu souris de bon cœur, persuadé qu’il y a bien quelque chose qu’il aimerait corriger ou perfectionner. Tu as alors terriblement hâte de l’entendre répondre à cette question pimentée, afin de pouvoir travailler sur toi-même et y remédier. « Fais quand même gaffe à ce que tu vas me dire, hein, car j’peux aussi te raser plus bas... » En guise de fausse menace, tu places la lame du rasoir au-dessus de la virilité de ton amour. Haha, il sera imberbe de la tête aux pieds, à ce rythme-là ! Mais non, non, qu’il soit rassuré : tu trouves que tu l’as amplement assez rasé pour la journée !



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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyMar 23 Oct - 19:26

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En même temps, pour que tu le quittes, il te faudrait réellement une excellente raison, qu’il ait fait quelque chose d’absolument impardonnable, ou qu’il n’y ait plus rien à sauver entre vous. Et si tel était le cas, comment pourrais-tu envisager te remettre avec lui ? Ce serait juste impossible, impossible car creux et vide et plat, simplement car tu te forcerais à faire quelque chose dont tu n’as pas envie. Et en plus, s’il te court après, il n’arrangerait pas son cas ! Alors vraiment, sans méchanceté ni y avoir dûment réfléchi, ce n’est pas bien difficile d’affirmer que si tu le quittais, il n’y aurait pas moyen pour vous de vous remettre ensemble, navré. « Je te dis simplement la vérité… Si vraiment je te quitte, il y aura une bonne raison, et le fait que tu insistes rendrait la chose pire encore… » Tu te mords la lèvre inférieure — tu n’as pas envie de lui faire de la peine, mais la réalité est là et il faut juste l’admettre — tu es comme ça, voilà tout. « Et non, je n’y ai jamais réfléchi, parce que je n’ai aucune envie de te quitter. » Tu hausses les épaules avant de te contredire, un air taquin planté sur le visage. Il ne manque pas de te rendre l’appareil en point la lame de rasoir vers ta gorge ; et voilà qu’il te menace maintenant ! Tu lâches un sourire tandis qu’il s’évertue à adopter celui d’un psychopathe, mh, sans grande réussite. « Tu n’es décidément pas fait pour être un fou sanguinaire, chéri… » Et comment le pourrait-il ? Il a plutôt l’air d’un ange en toutes occasions, ce qui doit être bien contraignant lorsqu’il s’agit d’avoir l’air menaçant. M’enfin, on ne pointe pas une lame vers la gorge de quelqu’un tous les jours, cela dit.

Le concept de fantasmes, c’est assez surfait quand on y pense. Désirer ce qu’on n'aura jamais est déjà suffisamment triste dans le fond, et se morfondre davantage en s’en faisant un film ; et franchement, c’est assez pathétique. Alors tu as à réfléchir plusieurs secondes avant de sortir quelques noms à ton chéri, après tout, puisqu’il insiste. Oui, Leia, quand tu étais petit, parce que maintenant tu admires plus la fabuleuse personne derrière les macarons que la princesse en elle-même, bien qu’elle ait été l’une de tes premières vraies héroïnes. Daenerys, parce que c’est classique et parce qu’il fallait bien la citer ; difficile de trouver son physique désavantageux, mais de là à envier Jon Snow, il ne faut pas exagérer — Black Widow, certes, Wanda, évidemment, tu as toujours trouvé sa voix grave très profonde. Mais maintenant que tu as tout dit, est-ce qu’Apple sera jaloux ? Tu lui poses la question, avec un demi-sourire, et il te répond presque aussitôt par la négative. Au fond, il n’a pas tort. Tu n'as jamais été attiré que par un homme : lui ; et lorsqu'il s'agit de qualifier ta sexualité tu es bien embêté. Parce que bisexuel ne semble pas convenir au juste, pusiqu’Apple est l’exception qui confirme la règle… Mais enfin, qui est-ce que ça intéresse ? Tu ne devrais même pas te poster ce genre de questions, tout ça importe peu, voire pas du tout. « Mais tu as raison, tu es le seul dont ce qu’il se passe sous la ceinture m’intéresse… » Tu lâches un sourire fortement explicite, avant de te laisser ravir les lèvres par les siennes, dans un souffle. « Tu as pris cette initiative tout seul, je te signale ! Si tu m’avais consulté d’abord, j’aurais pu te réorienter vers quelque chose de plus approprié… » Tu éclates de rire, parce qu’en réalité ce petit moment avait beau être gauche et un peu maladroit, il t’a profondément marqué d’une autre manière. C’était votre première journée, tu te rappelles, la première journée où tu pouvais l’appeler chéri et lui dire que tu l’aimes, et qu’il t’ait fait cette démarche de chercher à te faire plaisir alors que tout aurait pu paraître si fragile ; c’est juste, juste tellement lui…

À son tour donc d’énumérer ses fantasmes, maintenant que tu es passé à la casserole. Robb Stark, évidemment, Ariel, oui, prévisible, Hermione et Lara Croft ; comme toi rien de très original en soit, et plus ou moins applicable à toutes les personnes de cet âge-là. « Lara Croft ? Les seins triangulaires te font donc fantasmer ? » Tu te moques légèrement de lui, tout en te remémorant l’allure géométrique dont la pauvre Lara Croft était affublée fin des années quatre-vingt-dix, question d’un manque évident de polygones. Enfin, Apple n’avait sans doute pas encore l’âge d’y jouer à cette époque, alors peut-être a-t-il échappé au pire. « Enfin, tu as peut-être esquivé cette période polygonale, toi… Mais ce qui a suivi n’était guère mieux, tu me diras. » À défaut d’avoir l’air d’une aventurière équipée pour s’empêtrer dans la boue et les lianes, elle était plus ce qu’on peut qualifier de sex symbol purement assumé, pas franchement avantageux et gratifiant pour l’image des femmes. Enfin, initialement, le jeu était conçu par des hommes et pour des hommes, alors comment dire que ça ne te surprend pas. Parenthèse outrée terminée, tu souris à sa réflexion un peu niaise et adorable, lorsqu’il sous-entend que tu es tout ce dont il pourrait fantasmer. Mais pas le temps de se fondre en compliments et sourires idiots, il a enfin terminé de te raser. Tu passes une main contre ta joue puis ton menton, te répétant une dernière fois que, pas de panique, tout va bien sagement repousser, et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.

Apple vient se blottir contre toi, et tu te recales doucement plus au fond du lit, glissant une main dans ses cheveux pour jouer à en entortiller une mèche autour de ton doigt. Qu’il poursuive le jeu, alors, et qu’il pose une autre question. Ton impatience n’est pas plus longtemps mise à l’épreuve, puisqu’il vient te demander ce que, si tu le pouvais, tu changerais chez lui. Ah. Excellente question, tu n’en as pas la moindre idée ! Parce que chacun de ses défauts, il y en a, bien sûr, est si bien associé à ses autres qualités que le tout n’en apparaît que plus parfait et débordant d’équilibre. Mais puisqu’il faut en citer, tu vas te creuser un peu les méninges, promis.  « Eh bien… Je dirai… » Comment formuler tout ça ? « J’aimerais bien que tu arrêtes d’essayer de deviner ce que je pense, et donc de traduire maladroitement mes paroles… » Tu plisses les lèvres, songeur un instant. « Parce que ça nous a déjà causé quelques problèmes, tu ne crois pas ? » Quelques disputes, oui, on peut appeler un chat un chat. Mais bon, il faut juste l’accepter et essayer de ne pas y attacher tant d’importance, ça n’en vaut sans doute pas la peine. « Enfin, en soit, ça ne nous tuera pas. » Tu hausses timidement les épaules, baissant le regard vers le visage de ton chaton, même si celui est resté dans la même position. « À mon tour, maintenant. »  Tu n’as pas à réfléchir deux secondes, car tu sais déjà très exactement ce que tu vas lui demander. « Dis-moi, qui est la première personne que tu as embrassée ? » Bon, c’est clairement de la curiosité mal placée ! Mais tu as le droit de savoir qui a eu ce privilège, tout de même, non ?
 
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Message Sujet: Re: Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ   Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ EmptyVen 26 Oct - 18:31

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Ça te fait un petit pincement au cœur, d’entendre ton amour te dire – t’avertir ? - que tu n’as pas le droit à l’erreur. Attention, gare à toi, tu n’as pas le droit à un trop gros faux pas, sous risque de voir votre histoire voir voler en éclats ! C’est triste, mais ça te fait à nouveau prendre conscience que tout est fragile, incertain et non-acquis, que même votre romance n’est pas à l’abri.
Tu réfléchis, te demandes si... et si, finalement... l’océan infini de possibilités venait vraiment à imploser ? Bien sûr, tu serais dévasté, si vous veniez à vous séparer, mais... grâce à cette conversation légèrement déprimante, tu sais que ce serait vain de t’accrocher. Tu n’aurais alors qu’à te taire et le laisser filer, sans broncher, sans insister, sans bouger, tout en regardant ton univers sombrer sous cette apocalypse déchaînée résultant de la fin de l’océan infini de possibilités.
Pendant un instant, tu fermes les yeux et t’imagines vivre ce drame annihilant. La silhouette de ton amour s’efface alors tristement devant toi, puis la terre se dérobe dangereusement sous tes pas, tandis que ta vie devient ce vide immense où le désespoir prend tous ses droits.
Et ça fait mal.
Mal.
Mal que tu ne supporterais pas.
Mal dont tu ne guérirais pas.
Mal dont tu ne sortirais pas.

Ces images insupportables te déchirent, et, avant d’envisager le pire, tu rouvres les yeux et adresses un petit sourire à ton chéri, en essayant d’oublier le film d’horreur que tu viens d’imaginer. « Et bien, c’est noté, merci de ton honnêteté ! Du coup, le jour où tu me quitteras, je n’insisterai pas, je te le promets... » Il n’y a maintenant plus qu’à attendre le sort fatidique, l’inévitable : ta faute impardonnable. Et elle arrivera, c’est certain, car tu es si maladroit et de mauvais aloi que tu finiras forcément pas orchestrer un mauvais pas. Mais n’y pense donc pas... car tu te boufferais de trop t’inquiéter pour ça... « Cela dit, j’suis content de savoir que tu ne penses pas encore à me quitter ! » Tu lui adresses un tout petit baiser suivi d’un large sourire jovial, histoire de camoufler ces pensées qui t’ont mis à mal. Oh, espérons maintenant que ce jour maudit ne vienne jamais... et que jamais, jamais tu ne fasses une erreur si énorme qu’il décide irrémédiablement de te quitter...


Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 119514gxoy .....Love Is Alive. ☆ Pancake. ღ 28150433bee501c772f3f5483e8f6bb4


Après une succession de nouvelles taquineries et questions osées, ton moral et tes pensées se sont fortement requinquées. Tu ne penses donc plus à votre hypothétique rupture et prends infiniment plaisir à écouter ton amour confirmer que tu es bien le seul homme qui lui fait de l’effet. Pour toute réponse à cet aveu attendrissant, tu souris niaisement et dévore ses lèvres amoureusement. Néanmoins, tu n’as pas encore fini de la ramener, puisque l’énumération des fantasmes de ton bébé te fait soudainement songer à un évènement de votre passé... au cours duquel tu aurais visiblement pu éviter de trop te ridiculiser... Évidemment, il a raison : avant d’enfiler le costume en métal de son super-héros préféré, tu aurais pu le consulter ! Mais bon, puisque ton but était avant tout de lui faire une surprise... quel en aurait été l’intérêt de lui révéler ton projet ? « Oui, j’aurais pu – et sûrement dû - te consulter, mais bon... c’aurait tout gâché ! » Et tandis que ton rire tonitruant se joint à celui que Doudou fait joyeusement éclater, tu te dis que ton costume d’Iron Man n’était peut-être pas si mal, au final... « Tu sais, quand je vois combien on en rit aujourd’hui, je ne regrette absolument rien ! Ça nous fait un souvenir unique et marrant de notre toute première journée en tant qu’amoureux officiels... et je ne l’échangerais pour rien au monde ! » La nostalgie s’empare de tes pensées, tandis que l’émotion ne tarde pas à te gagner. Oh... et même si tu as été un boulet plus que ridicule et maladroit, tu ne cracheras jamais sur ce fragment de votre passé, tout simplement car Il est bien trop précieux pour être ainsi bafoué.

Lorsque vient ton tour d’aborder les figures de tes fantasmes plus ou moins secrets, tu parles sans rien occulter. Cependant, ton aimé ne manque pas de te taquiner sur l’une des héroïnes sélectionnées, et tu ris gaiement en repensant au graphisme de la célèbre pilleuse de tombes aux gros nénés. « Même si Tomb Raider II est sûrement mon jeu vidéo préféré, je pensais plus à l’héroïne des films qu’à l’étrange personnage cubique d’Eidos ! » Tu ris de bon cœur, quand bien même ce jeu fabuleux t’a captivé, transcendé et collé à ton écran durant des heures. Clairement, c’est ton opus préféré, et, grâce à ta cousine légèrement plus âgée, tu as eu la chance d’y jouer. « Haha, non, j’ai également bien connu la période des seins triangulaires ! T'sais, j’avais hyyyper mal aux yeux tellement le tout était pixelisé, mais je crois que je n’ai jamais vu un jeu aussi difficile, captivant et complet ! » D’ailleurs, en additionnant tout ton temps d’écran, tu as dû y passer au moins un an ! Quoi qu’il en soit, les suites n’ont jamais vraiment été à la hauteur de ce jeu aux paysages et niveaux ultra-variés, mais saluons au moins les développeurs et l’effort accompli pour avoir enfin habillé ladite pilleuse de tombeaux secrets. Même si c’est effectivement loin d’être gagné, y’a quand même du progrès !


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Une fois ton œuvre d’art achevée, tu t’allonges et te blottis – te colles – à ton bien-aimé, tandis que ce dernier s’amuse à tripoter tes cheveux d’ores et déjà ébouriffés. T’es à deux doigts de te laisser aller à ronronner, mais ton bébé te rappelle que le jeu n’est pas encore terminé. Mh... Très bien ! De ce fait, tu en profites pour lui demander ce qu’il aimerait voir changer chez son petit chaton préféré. Verdict ? Sans grande surprise, il mentionne encore ton défaut de mauvaise interprétation de la moindre de ses paroles et pensées. Alors oui, tu reconnais qu’il est vrai que tu as cette fâcheuse habitude d’essayer de lire entre les lignes afin de déceler des vérités cachées, mais... ce défaut de déformation de la vérité... tu ne sais pas vraiment comment faire pour t’en débarrasser... « Oui, je sais que t’aimes pas quand je fais ça... » Malheureusement, c’est toi ; t’es comme ça ! « ‘Fin... j’sais pas comment, mais... promis... j’essaierai d’y remédier... » Cela demandera sûrement beaucoup de persévérance et d’énergie, mais tu es certain que tu peux réussir à positivement changer, pour ton chéri...
Quoi qu’il en soit, puisque ton tour est terminé, la prochaine question revient forcément à ton aîné. Très curieux, il s’empresse alors de te demander à qui tes lèvres ont donné leur tout premier baiser. Tu plisses les yeux, réfléchis quelques instants, avant de te lancer. « Euh... en fait, ça dépend de quel premier baiser tu parles... » Tu hausses les épaules d’un air désolé, juste avant de te résoudre à développer le fond ta pensée. « Mh... Si on prend ta question au sens le plus premier, je suppose que... c’est ma maman qui m’a donné mon tout premier baiser ! Sinon... le tout premier que j’ai donné de moi-même était à ma cousine, lorsqu’elle m’a fait trop picoler... » Tu glousses bêtement, lorsque tu te revois, bien trop bourré, finir par embrasser ton aînée. Décidément, quelle équipe de dégénérés vous formez ! « Mais... si on parle du vrai, pur, sincère, amoureux et entier tout premier baiser, il a été déposé juste là, à cet endroit... » De tes doigts, tu effleures les contours des lèvres de ton amour, juste avant de succomber à ton désir de les posséder.
Une.
Deux.
Trois fois.
Et jamais assez, t’en auras.

Même si tu ignores si tu as bien répondu à la curiosité de ton bébé, il est évident que la prochaine question te revient de droit. Tu sais alors déjà quoi lui demander, mais, en toute honnêteté, tu appréhendes légèrement la réponse qu’il va te donner. M’enfin... quand faut y aller... « Je... Je me demandais si... si... parfois, il t’arrivait de... de douter de moi... ou... ou de ma fidélité... ? » Les mots fébriles sortent, s’entrechoquent, tremblent et se bousculent, comme s’ils étaient des agoraphobes pris au piège au milieu d’une émeute. Le résultat en est alors plus qu’étrange et anormal, témoin de ton anxiété liée à ce délicat sujet. « ‘Fin... vu ce que j’ai fait endurer à Alejandro, il m’arrive souvent de me demander si... si tu as totalement... confiance... en moi ? » Tu baisses les yeux et romps momentanément tout contact avec ton amoureux. La réponse fera-t-elle autant de mal que tu en as toi-même infligé à cet homme malheureux ? Ce serait un juste retour de karma, tu ne crois pas ?
Après cette question témoignant de ta fébrilité, tu retournes finalement réchauffer ton corps auprès de ton bébé. Ah, vous êtes si bien, là, emmitouflés dans les bras de l’être aimé ! Ça ne donne même plus envie de bouger... « Dis, coquillette, est-ce que t’as quelque chose d’important à faire, aujourd’hui ? » Tu lui laisses le temps de brièvement parler, avant d’annoncer ton idée. « ...car j’me dis qu’on pourrait lézarder au lit toute la journée... » Là, ensemble, blottis, simplement occupés à vous chérir et aimer. Ne serait-ce pas tout simplement parfait de le faire durant toute une journée ? Pas de réveil ni de contact avec le monde extérieur, juste cet amour éternel qui vous unit et fait ardemment chavirer vos cœurs. « Des calinojs et massages devant un film peuvent éventuellement être à la clé... » Est-ce une basse technique destinée à amadouer le grand cinéphile qu’il est ? Sûrement ! Mais qu’importe, toi, tu signes pour ce programme sans hésiter !



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